Conception pour la peinture sur les murs laterales et les balustrades, Karin Hoerler, 2011

Conception d’un objet de l’espace aérienen pour l’atrium en le cage d’escalier, Karin Hoerler, 2011

home

 

deutsch

english

L’art dans l’architecture
Nouveau bâtiment, Physico-chimie, Mainz

Toutes les œuvres proposées sont basées sur une seule photographie. Par de multiples reflets de la surface et leur réduction graphi- que à des contrastes clair-obscur, je pénètre la surface, la regarde « à la loupe ». Les structures deviennent visibles, des « molé- cules et des atomes » visuels se forment.
C’est mon lien avec la science de l’Institut de chimie physique - et son observation des structures de surface jusqu’à l’échelle nano- métrique.
Mon concept se compose de plusieurs parties et est conservé dans les couleurs spectrales de la lumière.

Conception pour la peinture murale:
Afin de souligner l’effet extérieur, j’ai utilisé des couleurs de base claires sur les balus- trades avec quelques structures choisies. À l’intérieur du bâtiment, les structures des murs latéraux sont clairement visibles depuis chaque étage et guident les spectateurs dans les couloirs.
Le motif latéral sur les balustrades se pour- suit sur les parois latérales et sur l’ensemble du spectre chromatique de la lumière se dé- ploie dans les structures, mes « molécules et atomes ».

Conception d’un objet de l’espace aérien:
En regardant dans l’espace aérien de l’atrium, le spectateur découvre un grand objet de l’es- pace aérien en trois couleurs primaires et est ainsi déplacé vers les autres étages. Il se compose de trois « atomes » qui se sont ré- unis pour former une « molécule ». Ce 7m de haut la forme est l’agrandissement extrême d’une très petite structure optique à partir de la photographie sous-jacente.
J’ai choisi l’aluminium comme matériau, qui est pourvu d’une coloration correspondante. Trois éléments individuels suspendus l’un l’autre et sont reliés l’un à l’autre par le biais de l’articulation. L’ensemble relativement léger est fixé à des câbles en acier. À travers les nombreuses interruptions (trous), le monde derrière lui est visible, la lumière tombe à tra- vers et l’objet a un effet très délicat et léger. Avec ses dimensions impressionnantes, il s’intègre harmonieusement à l’atrium large et lumineux dans la zone supérieure.